Bonjour Le Bon, vers un nouveau mode de vie.
La durabilité, c’est une vision d’ensemble qui va plus loin que le bio.
Quand le bio se limite à un non-recours à la chimie et va qualifier les pratiques agroécologiques, la durabilité prend en compte les critères du développement durable, soit une consommation à la fois respectueuse de l’environnement, bénéfique pour l’économie locale, positive pour la société et bonne pour la santé.
C’est pour cela que chez Bonjour Le Bon, nous analysons les paramètres socio-territoriaux et les paramètres économiques, en plus de la qualité des produits, pour faire notre sélection de producteurs.
Aujourd’hui le BIO n’est pas suffisant aujourd’hui pour préserver l’activité dans nos territoires ruraux. Bonjour Le Bon est dans une démarche de sélection stricte de producteurs engagés dans l’agriculture durable.
Notre force c’est donc une sélection de producteurs qui se concentrent sur la durabilité : qu’elle soit économique, agricole ou bien socio-territoriale :
Nous nous interrogeons sur la robustesse de l’exploitation et sur sa capacité à être là demain, sur les bonnes pratiques agricoles du producteur, sur l’exploitation dans son territoire et le rapport du producteur au bien-être animal. Nous nous assurons que l’exploitation est rentable et qu’elle permettra aux agriculteurs et leurs descendants de pérenniser un modèle économique vertueux et préserver les savoir-faire sur nos territoires français.
Et c’est là que prend tout le sens de la rémunération juste du producteur : c’est lui qui fixe le prix de son produit en fonction de ses coûts de revient. Ce qui va lui permettre de vivre de son travail et de transmettre son entreprise.
Le respect du bien-être animal est une notion primordiale. Nous apportons une grande importance au respect du producteur envers ses animaux et au contact qu’il a avec eux et également aux conditions de transport et d'abattage des animaux.
Pour les volailles, nous ne sélectionnons que des exploitations ayant leur propre équipement d'abattage, donc sans transport d'animaux vivants.
Pour les bovins, nous exigeons que ce soit l'éleveur lui-même qui conduise ses animaux dans un petit abattoir le plus proche et possédant un savoir-faire boucher reconnu.
En plus de mettre en avant les exploitations agricoles sélectionnées, nous avons fait le choix du circuit-court en optimisant la logistique entre les producteurs et le client . Chaque producteur produit son lait ET son fromage, son blé dur ET ses pâtes…etc.
C’est un engagement de l’agriculteur jusqu’au produit final. C’est important car si la matière première n’est pas bonne, le produit final ne le sera pas non plus. L’agriculture fermière à taille humaine assure la maîtrise de la chaîne de production du produit. Nous favorisons les systèmes autonomes pour l’alimentation des animaux également pour limiter les impacts carbones.
Il en va de même pour notre politique d’emballage : la sélection d’emballage recyclable et compostable, dans du papier kraft, fait partie d’un mode de vie durable.
Nous sommes le seul intermédiaire entre le producteur et le consommateur, ce qui nous permet d’avoir un contrôle total sur la qualité des produits que nous vous proposons. Cela vous permet également de recevoir votre commande en un seul colis, chez vous.
Pour le client, c’est transparent ! Il peut tout tracer. Chaque produit que nous envoyons possède son propre flashcode et donne accès à l’identité du producteur, sa situation, et inclut notre analyse de durabilité, de résidus, plus toute info qui peut être intéressante, des photos, les éléments de production, des éléments qui garantissent que ce que vous mangez est sain.
Le tout alimenté par les producteurs et vérifié par Bonjour Le Bon. Une analyse de résidu est effectuée afin de garantir qu’aucune mauvaise utilisation des produits phytopharmaceutiques à été détectée. Il s’agit d’assurer la bonne utilisation de ces produits.
Nous ne garantissons pas à 100% le ZÉRO résidu, qui dépend des limites de quantification des laboratoires et des fréquences d’analyses réalisées sur les produits finis. Lorsque nous déclarons ne pas retrouver de résidus de pesticides ou de médicaments vétérinaires, c’est évidemment dans la limite de quantification ou de détection des méthodes d’analyses. De plus, grâce aux progrès scientifiques, ces limites sont relativement basses (en général 0,01mg/kg pour la plupart des résidus de pesticides par exemple).